Besoins physiologiques
L’alimentation subvient à des besoins énergétiques minimum, le métabolisme de base : c’est la survie de l’organisme.
A celui-ci, s’ajoute un métabolisme énergétique qui fluctue d’un individu à l’autre, d’une situation à l’autre, selon les efforts physiques ou intellectuels, ce qui influence notre comportement.
D’autre part, ces aliments extérieurs ont pour but de nourrir chacune de nos micro-cellules ; donc ils doivent être digérés, c’est-à-dire transformés en infiniment petits pour que la cellule l’intègre.
Selon le fonctionnement de ces organes digestifs et d’assimilation, nos comportements vont également varier, par exemple selon l’acidité du corps.
« Nous étudions ensemble votre fonctionnement digestif. »
Besoins psychologiques
L’Alimentation se doit d’être Plaisir.
Cependant, notre inconscient peut en avoir une représentation complexe.
Notre propre éducation alimentaire gère plus ou moins notre comportement adulte.
Tout manque, tout stress est rapidement compensé par l’alimentation.
Parallèlement, ces envies ou pulsions vers des types d’aliments correspondent à un besoin réel du cerveau : certains provoquent des sécrétions amphétaminiques qui atténuent les stress.
Le comportement alimentaire, même s’il est parfois très gênant, est là pour apaiser un déséquilibre ; donc supprimer tel ou tel type d’aliments peut être un risque mental, en surplus d’un risque santé.
« Je vous invite à intégrer ce plaisir alimentaire, pour ne pas aller vers une frustration bloquante. »
Chaque individu a un comportement alimentaire propre, issu des habitudes de son enfance, du passé et de son mode de vie actuel (le présent).
Chaque individu vit également différentes émotions (au travail, lors d’activités…) qui jouent sur les aspects psychologiques et physiologiques, qui eux-mêmes influencent le système nerveux et le fonctionnement des organes.
Des informations nerveuses et chimiques sont envoyées aux cellules de notre organisme selon des stratégies d’adaptation au stress.